La suite de Fibonacci : lien entre les maths et la nature
Comment se fait-il qu’une pomme soit ronde, que les alvéoles d’une ruche soient hexagonales et que le chou romanesco soit aussi géométrique ? La nature est pleine de surprises et de mystères. Certains mystères s’expliquent par les maths et la géométrie. C’est notamment le cas des hexagones que l’on retrouve dans les ruches, les cristaux de glace et les orgues de basalte. La suite de Fibonacci est bien plus présente dans la nature que vous ne l’imaginez !
Qu’est-ce que la suite de Fibonacci ?
Dans la suite de Fibonacci, chaque terme est la somme des deux termes qui le précèdent. Cette suite infinie commence par 0 et 1 et se poursuit comme suit : 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34… 21 est par exemple la somme de 8 et de 13.
La suite de Fibonacci dans la nature
Dans la nature, la suite de Fibonacci se retrouve entre autres dans des spirales ou dans le nombre de pétales d’une fleur. Quelques exemples :
• Pétales de fleurs : 3 pour le lys ; 5 pour le boutons d’or ; 34, 55 ou 89 pour la marguerite…
• Spirales dans la flore : chou romanesco, choux-fleurs, ananas, pommes de pin…
• Spirales dans la faune : coquilles d’escargot, trompe repliée d’un éléphant, coquilles de certains coquillages…
Repérerez-vous la suite de Fibonacci lors de votre prochaine promenade dans la nature ?